Salut les gars, j'ai fait cette nuit un drôle de cauchemar et il m'inquiète beaucoup. Peut-être que je me fais un film mais j'ai un mauvais pressentiment. Pourriez-vous m'aider à interpréter ce rêve? Je sollicite votre concours.
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Tout d'abord le SSILD + WILD a échoué et je me suis retrouvé empiété dans un rêve bien étrange. Je pousse alors une porte devant et me retrouve dans mon ancienne salle de classe de philo. La salle est comme lorsque je l'ai quitté. Le soleil rentrait par la vitrine, éblouissant la salle pleine de poussière. Les grains flottaient doucement, d'une manière paresseuse dans l'air qui s'était soudainement chargé. Dès lors je vois ma meilleure amie, Amandine, dans les bras d'un homme que je connaissais pas, tous deux en train de s'embrasser. L'homme avait une bouche démoniaque et la dévorait morceau par morceau. Je voulu courir mais mes jambes me firent bondir dans un autre endroit. Cette fois-ci on était sur le toit du lycée. Je vis dès lors mon amie sauter dans le vide. La douleur de voir sa chute fut intense mais ne me réveilla pas. Au contraire je me retrouvai dans une autre salle de classe avec des tas d'ordinateurs. Seulement il faisait nuit dehors et mon prof de philo un congolais super gentil que j'aimais beaucoup était là. Il était assis en face de moi, terminant sa tasse de café. Il se dressa alors face à moi. Et me fixa d'un air menaçant ce qu'il n'a jamais fait I.R.L ( au contraire il me félicitait souvent et disais que j'avais toujours un avis intéressant ). Il me dit donc " Tu as les livres ? ". Un couteau tranchant duquel des gouttes de sang tombaient était apparu dans sa main. je lui dis alors avec crainte " Quels livres monsieur ? ". Une autre amie débarqua dans la salle. Cette fois-ci il s'agissait de Claudia. Claudia dit donc au prof de philo " Monsieur vous voyez bien qu'il n'a rien, d'ailleurs ... " elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que le prof de philo me poignarder sauvagement en plein dans le ventre. La douleur était terrible. Je ne pouvais rien faire pour me réveiller. Je tentais de m'enfuir mais il saisit mes jambes et commença avec Claudia à les ronger. Alors Que je hurlais je sentais que je perdais conscience...
Soudain la douleur se tua et je me cru donc mort. Sauf qu'à ce moment une main chaude était posé sur mon coeur. Douce et agréable. La femme en kimono était là, toujours aussi belle et je voyais enfin son visage. Elle était encore plus belle que je ne l'avais imaginé. Elle posa sa tête sur ma poitrine tandis que je lui caressai les cheveux apaisé par sa présence réconfortante, qui réchauffait tous mon corps endolori.
Elle me dit donc, droit dans les yeux : " Ne t'en fais pas Clément, Tu dois avoir foi en ton destin ". Sur ces mots je me réveillai lentement...
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Pourvu que ce ne soit pas un rêve prémonitoire
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