Bonjour !
Une question très intéressante, qu'on a parfois abordée sur le forum.
Je pense que l'approche dans ce type de situation dépendra beaucoup de la personne. Mais de mon côté, j'ai tendance à prôner l'amour ou tout du moins l'acceptation et l'absence d'animosité, en enlaçant voire en incorporant l'entité mauvaise. Pour plusieurs raisons : j'ai pu constater plusieurs fois que la confrontation brutale ne menait à rien, à tel point que je n'arrivais pas à blesser mon opposant malgré toute ma lucidité et toute ma rage (avec plein de symboles qui vont bien, comme mon sabre qui avait fini par se transformer en couteau à bout rond, ma taille qui avait bien diminué, l'impression d'être écraser psychiquement). Et aussi parce que toutes les expériences que j'ai pu lire qui vont dans le sens de l'amour ont été vécues positivement par le rêveur et allaient dans le sens de l'acceptation, du pardon, de la paix, si ce n'est avec la personne au moins avec soi-même. Et puis même en étant dans cette logique, j'ai lu des opposants se ratatiner, changer complètement de forme pour devenir quelque chose d'inoffensif, ou récemment se transformer en une sorte de gelée bleue sur le bras du rêveur ou de la rêveuse (je ne sais plus de quel membre il s'agissait).
Je pense que la volonté d' "anéantir" va au contraire dans le sens d'un combat, d'une envie de violence, et donc dans le maintien du conflit,
a forciori s'il s'agit du PR d'une personne identifiée IRL. Mais j'ai pu lire que certaines personnes se sentaient soulagées de réussir à exploser la personne en face. Je pense cependant que ça ne fait pas vraiment avancer le schmilblick sur le plan psychologique en cas de vrai conflit.
Tout dépend aussi du contexte ! Exploser un poursuivant dans le cadre d'un RN orienté action dans lequel on atteint miraculeusement la lucidité n'est pas un problème, juste une manière de résoudre le scénario ^^ . Je ne pense pas qu'absolument tout doive être analysé dans nos rêves, c'est au cas par cas. Ma réponse plus haut tient davantage dans le cas où le conflit est clairement identifié comme le coeur du rêve.