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Auteur Sujet: [Série] Stranger Things  (Lu 12703 fois)

Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #15 le: 16 mars 2017, 19:58:39 pm »
0
Saison 2 : 31 octobre.
"...car il est bien certain que nous ne nous rappelons et que nous ne pouvons nous rappeler que les choses qui ont été l'objet de notre attention."
—Marie-Stanislas Rattier

"Le doute, — sur le bord d'une extrême merveille,
Si je suis, si je fus, si je dors ou je veille ?"
— Paul Valéry, Un feu distinct...

Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #16 le: 16 mars 2017, 21:57:37 pm »
0
C'est loin.
“We are like the dreamer who dreams and then lives inside the dream... but who is the dreamer?”

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Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #17 le: 28 octobre 2017, 03:27:37 am »
0
Ça y est la saison 2 est sur Netflix

J'ai commencé à mater les 2 premiers épisodes, et définitivement ST fait partie de mon panthéon de séries (avec Twin Peaks, The Fall & True Detective).

Après m'être abonné à Netflix j'en ai essayé plusieurs de séries récemment (dont Narcos & Black Mirror notamment) mais aucune ne m'a donné envie d'aller plus loin que la saison 1, c'est décidément un format auquel j'ai du mal à accrocher, même quand la qualité est au rendez-vous. En revanche dès les premières minutes de la saison 2 de Stranger Things, je me suis fait la réflexion que cette série était tout de même d'un autre niveau... L'implication émotionnelle est toujours aussi forte chez moi, chose que je retrouve de moins en moins dans les productions actuelles (et puis mon dieu cette BO...)

Du coup rien que pour Stranger Things je ne regrette absolument pas mon abonnement

Je referais un petit débrief quand j'aurais fini les épisodes

Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #18 le: 28 octobre 2017, 06:42:03 am »
0
Ouais, j'ai maté 4 épisodes hier. J'en dis plus demain mais pour l'instant je suis complètement envoûté. Et là je me réveille d'un rêve flippant de SF que je viens de noter parce que ça ferait une bonne histoire de SF justement.
"...car il est bien certain que nous ne nous rappelons et que nous ne pouvons nous rappeler que les choses qui ont été l'objet de notre attention."
—Marie-Stanislas Rattier

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— Paul Valéry, Un feu distinct...

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Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #19 le: 28 octobre 2017, 12:21:20 pm »
0
Citer
mais pour l'instant je suis complètement envoûté

Idem

Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #20 le: 28 octobre 2017, 13:09:33 pm »
0
Sérieux, je suis en train de péter une durite. Chaque épisode est un coup de poing dans la gueule. Je viens de finir le s2e5 encore les larmes aux yeux. Y a longtemps que j'avais pas vu une série aussi monstrueuse.
"...car il est bien certain que nous ne nous rappelons et que nous ne pouvons nous rappeler que les choses qui ont été l'objet de notre attention."
—Marie-Stanislas Rattier

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Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #21 le: 28 octobre 2017, 18:41:44 pm »
0
Fini.

Une merveille.
"...car il est bien certain que nous ne nous rappelons et que nous ne pouvons nous rappeler que les choses qui ont été l'objet de notre attention."
—Marie-Stanislas Rattier

"Le doute, — sur le bord d'une extrême merveille,
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Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #22 le: 28 octobre 2017, 19:50:13 pm »
0
Je dois être à l'épisode 6, j'adhère moins qu'à la première saison.

Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #23 le: 28 octobre 2017, 19:55:31 pm »
0
Pas normal.
"...car il est bien certain que nous ne nous rappelons et que nous ne pouvons nous rappeler que les choses qui ont été l'objet de notre attention."
—Marie-Stanislas Rattier

"Le doute, — sur le bord d'une extrême merveille,
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Re : Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #24 le: 28 octobre 2017, 20:19:57 pm »
0
Pas normal.

Si si, pour la simple raison que l'on connait déjà le monde du double et que même si on a pas toutes les infos il y a une grosse partie de l'intrigue révélée. Alors que la saison 1 c'était la grosse découverte.

Bon après les épisodes sont bien foutues avec toujours un gros rebondissement à la fin.

Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #25 le: 28 octobre 2017, 20:23:46 pm »
0
Attends de voir la fin si tu crois déjà tout connaître du double monde.
"...car il est bien certain que nous ne nous rappelons et que nous ne pouvons nous rappeler que les choses qui ont été l'objet de notre attention."
—Marie-Stanislas Rattier

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Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #26 le: 30 octobre 2017, 02:28:36 am »
0
Je viens également de finir la saison 2 et pour moi elle est tout simplement parfaite. Que ce soit le casting, le scénario, la BO, les effets spéciaux (et dieu sait que c'est un miracle que je dise ça, moi qui déteste le recours au numérique en temps normal). Absolument tout est réussi.

J'ai eu une espèce de révélation à la fin, je pense que si j'aime autant cette série c'est parce qu'elle me fait revivre le même type d'émotions fortes que je pouvais ressentir en regardant des films quand j'étais gamin. D'ailleurs belle synchro, en allumant mon poste ce soir pour me faire les derniers épisodes je suis tombé sur Gremlins de Joe Dante, typiquement un des films qui me fascinaient le + quand j'étais petit et que je pouvais mater sans arrêt. Je ne sais pas exactement quelles sont toutes les œuvres qui ont inspiré les créateurs mais je n'ai pas arrêté d'y voir des clins d’œil tous azimuts à des films de mon enfance (Gremlins 1 & 2, Terminator 2, Alien 3, L'Exorciste, Scarface, filmo de Carpenter etc, etc.), sous forme d'innombrables "flash", et je me demandais à chaque fois si les hommages étaient réels où si c'était juste l'esthétique globale rétro de la série qui provoquait chez moi toutes ses réminiscences et impressions. Quoi qu'il en soit le tout doit jouer un certain rôle affectif subliminal pour tous ceux qui ont grandi avec ces références j'imagine. Le truc fort c'est qu'à partir de ce matériau de base vintage ils sont arrivés à faire quelque chose de très "post moderne", avec sa propre histoire, sa propre âme, et qui fonctionne à merveille.

Honnêtement le fait que l'intrigue soit révélé dans la saison 1 ne gâche pas le plaisir, bien au contraire. Ils sont même allés encore plus loin dans l'étrange, notamment avec cette espèce d'entité tentaculaire et arachnéenne qu'on découvre dès le début et nombre d'éléments qui n'ont pas arrêté de me rappeler La Couleur tombée du ciel de HP Lovecraft (une de ses nouvelles les plus glauques). Et puis on va pas se mentir, c'est pas à son intrigue que tient la puissance de l'oeuvre. Dès les premiers épisodes j'ai su que j'allais encore + savourer cette saison 2, précisément parce que je connaissais déjà les personnages / l'univers et que c'était un peu comme d'émouvantes retrouvailles (au passage j'ai vraiment accroché avec les nouveaux personnages).

C'est devenu ma série préférée. J'espère de tout cœur qu'il y aura une saison 3 (il semblerait que ce soit prévu).

Petite compil 80's fort sympa à s'écouter pour rester dans le feeling :

! No longer available

Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #27 le: 30 octobre 2017, 13:22:12 pm »
0
Quand même, l'intrigue y fait beaucoup, je trouve.

À mon tour de me fendre d'un "petit" texte sur cette série réussie à tous les niveaux. Les frères Duffer ont tout compris, vraiment tout. Ils ont parfaitement compris le langage cinématographique instinctif de Spielberg – notamment les plans dans la saison 1 sur le visage de la petite sœur blonde marqué par la terreur pendant la dispute familiale à table, c'est à déchirer le cœur (cette gamine ballottée entre les tensions des adultes, ça m'a vraiment touché) :



Ça m'a fait penser à E.T. On le voit dans le documentaire HBO consacré à Spielberg : son soin apporté aux visages et à leur expression. Il dit d'ailleurs que ce film était initialement prévu sans extra-terrestre, son terreau premier était le traumatisme des enfants lié au divorce de leurs parents.



Et j'en viens donc à l'autre aspect majeur, qui fait pour moi le succès de cette série : les personnages. Et là, référence à Stephen King. Vous pouvez faire vivre ce que vous voulez aux personnages, des obstacles, des traumatismes en tous genres, bref ce que vous voulez, eh bien si vous n'aimez pas les personnages, vous vous en foutrez royalement. Par contre, si vous mettez tout ce que vous savez d'émotion, de cœur en eux, vous serez en empathie, subirez les mêmes choses, souffrirez de la même manière. Moi si je croise les acteurs dans la rue, ça a beau être des gamins, je me mettrai à rire et à chialer en les voyant (comme dans la série). Ils m'ont cueilli pendant les deux saisons, déjà ce sont des acteurs hors-normes mais en plus ils sont monstrueusement attachants. Si on retire tout le côté fantastique, qui est par ailleurs indispensable pour souder leur amitié et les rassembler, il reste quoi ? Il reste qu'ils vivent une amitié forte à la Goonies (référence affichée par les frères Duffer dans l'article TIME de cette semaine), que chacun a sa personnalité, qu'ils sont bizarres et marginaux (cf. King), qu'ils veulent refaire le monde, en se croyant investis d'une mission qui les dépasse mais qui en même temps fait partie du monde imaginaire des enfants qui, bien que questionnant constamment leur monde, n'hésitent pas une seconde à croire aux rêves. Vous retirez les monstres, vous retirez un liant, mais vous gardez cette union indestructible qui les unit fondamentalement, avec lequel ils affrontent la réalité de la vie adulte qui commence pour eux : brimades, vie amoureuse. (De la même manière que si on retire l'extra-terrestre dans E.T., comme prévu initialement, il nous reste la vie simple d'une famille moyenne en train de vivre un divorce qui affecte profondément les enfants.)

Si on retire les monstres, il nous reste (dans la saison 1) Will disparu, comment ses amis gèrent la nouvelle et comment tout se met en branle tout autour de ce drame. Plus je lis des histoires d'horreur à la King, plus je comprends ça. Les monstres sont un prétexte. Ils révèlent ce qu'il y a d'humain en nous quand on est confrontés soit au surnaturel, que la disparition d'un enfant peut évoquer en nous, soit à une irruption soudaine du rythme de la vie quotidienne.

Et j'en viens à l'Upside down. Qu'est-ce que c'est ? C'est l'horreur qui nous environne tous les jours, qui peut surgir à n'importe quel moment par une fissure de la réalité (the Gate). C'est pour moi une allégorie du thème principal de l'horreur telle qu'on la retrouve dans la télé, le cinéma, les livres. Les personnages vivent avec ce monde invisible car nous vivons aussi avec. Le but de ce genre, c'est de le révéler et surtout, pour ceux qui ont vraiment compris comment ça marche (comme les frères Duffer), de révéler comment on réagit par rapport à ça. Dans toutes les bonnes histoires surnaturelles et flippantes à la King et cie, quelque part dans l'histoire les personnages reconnaissent toujours le caractère irréel de ce qu'ils vivent, soit par l'humour, soit par un autre vecteur ; mais ils le verbalisent toujours. (Cf. le chief Hopper dans la saison 2 s'insurge sur le fait que les gamins préparent le plan suivant un jeu de plateau.) Ça permet deux choses. Ça permet de rendre le récit vraisemblable (le personnage réagit ainsi car dans une situation pareille on réagirait aussi comme ça) et ça permet d'établir une nette fissure entre la réalité et le surnaturel. La frontière ne se situe pas entre méchants et gentils, elle se situe entre personnes ordinaires et événements extra-ordinaires. Méchants et gentils sont tous dans le même sac. L'Upside down les fait se déchirer entre eux. J'aurais sûrement encore plein de choses à dire sur l'Upside down, en ce qu'elle caractérise ce monde parallèle invisible. Je crois que c'est un élément capital de la série.

Mais surtout, il y a un terme qui me vient à l'esprit quand je pense à cette série : l'implication émotionnelle. On passe constamment du rire aux larmes. Je me suis surpris à être ému aux larmes et à hurler de rire dans la même minute (et j'ai chialé à chaque épisode). C'est extrêmement bien rythmé, ils nous font passer par tous les spectres de l'émotion. C'est Hitchcock qui disait, je crois, que l'humour est indispensable dans un film d'horreur, ça permet de relâcher la tension accumulée par des scènes dures. King (oui, encore lui, mais c'est un génie donc faudra s'y faire) est bourré d'humour, et ses livres en sont naturellement dotés. Cependant il faut différencier l'humour grinçant du rire cordial (cordial au sens de "cœur"). L'humour grinçant peut être un mécanisme de l'horreur, l'humour noir, l'humour satanique ("mouhaha"), ce genre de rire flippant qui n'est pas vraiment drôle, mais surtout méchant. Il y aussi le rire nerveux, gêné. Mais dans Stranger things, le rire est dénué de toute teinte négative. Les gamins sont vraiment adorables ("look at those pearls, rrrrrrh!") et l'horreur fonctionne d'autant plus que l'implication émotionnelle aura été forte. Fais-moi d'abord rire, que je te trouve attachant, et ensuite subis quelque chose d'atroce, et là je pleurerai. Je pleurerai d'autant plus que j'aurai ri. Quand je dis que les frères Duffer ont vraiment tout compris...

Allez, on va finir sur un dernier petit truc : la différence entre mélancolie et nostalgie. Depuis quelque temps je me pose la question de savoir quelle est cette différence. Je crois avoir une réponse. La différence entre la mélancolie et la nostalgie, c'est que la nostalgie peut être heureuse. Cette série est une ode aux années 80. La musique, les ambiances, les styles vestimentaires, les objets du quotidien, les coiffures, les références cinématographiques (je suis persuadé qu'il y en a davantage que ce que j'ai aperçu). Et puis à l'heure des débats (en passe de devenir obsolète) sur la légitimité de la série télé par rapport au ciné qui, lui, est ancré depuis longtemps dans la culture, on peut vraiment dire que (même si ça a été enclenché par des séries comme True detective et autre) Stranger things réussit ce tour de force, celui de consacrer le cinéma à la télé. En terme de qualité de jeu d'acteur, de scénario, de langage cinéma, même d'ambiance, c'est une putain de réussite. Elle rassemble tous les codes du ciné des années 80, mais c'est une fête, il n'y a rien de malsain ni de triste, ils ont vraiment choisi un regard bienveillant.

Finalement, je vais ajouter quelques mots sur cette putain de bonne musique. Dudududududu... Lancinant, hypnotique. À chaque lancement de générique, j'avais la gorge serrée et les yeux mouillés. D'une, parce que la scène pré-générique est super bien soignée (j'adore quand les séries accordent de l'importance à la scène pré-générique comme The wire), et de deux parce que ce lancement de générique est tout simplement génial. Ironie du sort : la saison 2 de cette série nostalgique des années 80 réussit à me rendre nostalgique de la saison 1 avec ce dudududududu lancinant. Tout au long des épisodes, on alterne entre cette musique originale et les tubes de l'époque, si bien qu'on a et l'ambiance du présent, et celle du passé, mélangées pour nous offrir un objet nouveau. De plus, la musique hypnotique s'allie parfaitement aux mouvements de caméra subtils et lents. J'ai particulièrement adoré les lents retournements à l'horizontale, pour passer de la réalité à l'Upside down.

ST dépasse de loin tout ce qui se fait actuellement en télévision. Pour moi, GOT doit aller se recoucher (d'ailleurs, plus qu'une saison et on n'en parle plus). Même si c'est impossible, je veux 15 saisons de plus. Puis les acteurs gamins de ST sont consacrés pour la vie, avec ce coup de projecteur. Ils ont leur ticket d'entrée dans le monde de la télé et du ciné pour 20 ans, là. Ils sont en train de marquer une génération. Et je pèse mes mots.

Je pèse mes mots.
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Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #28 le: 30 octobre 2017, 14:38:03 pm »
0
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Quand même, l'intrigue y fait beaucoup, je trouve.

Certes mais je réagissais surtout au commentaire de Gunnar, et aussi pour souligner le fait que c'est en effet avant tout les personnages qui rendent cette série aussi mythique. Mais sinon évidemment, l'intrigue fantastique est juste énorme en tant que catalyseur émotionnel. On est tenu en haleine de la première à la dernière minute.

J'adhère à 100% à ce que tu dis (tu devrais vraiment publier ton analyse sur un site comme senscritique)

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Allez, on va finir sur un dernier petit truc : la différence entre mélancolie et nostalgie. Depuis quelque temps je me pose la question de savoir quelle est cette différence. Je crois avoir une réponse. La différence entre la mélancolie et la nostalgie, c'est que la nostalgie peut être heureuse.

Effectivement j'ai même pas voulu employer le mot nostalgie car on est pas du tout dans ce registre, mais bien + dans quelque chose de l'ordre de la célébration.

Pour moi le seul autre objet ciné à avoir réussi à recréer une ambiance eighties aussi brillamment c'est Donnie Darko

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Même si c'est impossible, je veux 15 saisons de plus.

Pareil, ça se regarderait sans fin...

Re : [Série] Stranger Things
« Réponse #29 le: 30 octobre 2017, 15:02:19 pm »
0
J'adhère à 100% à ce que tu dis (tu devrais vraiment publier ton analyse sur un site comme senscritique)

Bonne idée, surtout que j'me suis fait chier à tout écrire. :D
"...car il est bien certain que nous ne nous rappelons et que nous ne pouvons nous rappeler que les choses qui ont été l'objet de notre attention."
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