quelle différence donc entre un homme et une autre intelligence artificielle?
La mort bien-sûre un être ne mourant pas n'est pas vivant ( HS à la question) , et il y a un autre point, une intelligence artificielle ne pourra qu'imiter nos émotions. Alors que nos émotions sont innée on ne les apprends pas, cela vient tout seule ! Ton raisonnement me fait dire que l'homme n'est que le robot d'une certaine personne et que la machine ne produits que ce que fait son créateur !Or qui pourrait-être notre propre créateur .
Miya: Je te remercie d'avoir un peu massacrer le poème de WolfDreamer
!
Moi je dit que le bonheurs n'est pas notre ultime but dans la vie,la preuve certaines personnes veulent l'éviter (je ne parle pas là de maladie psychologique (ou psychopathologique)
Ce sujet me fais penser à ma pièce de théâtre de fin d'année, tout les savants du "monde" s'étaient réunie pour définir le Bonheurs, ça n'a aboutie à rien :@) !
Je dit que le bonheurs ne peut être définis que pas soit même.
Voici un monologue définissant le bonheurs !
Ne cours pas après le bonheur il est derrière toi !
Ce proverbe tibétain met l’accent sur l’inaccessibilité du bonheur en même temps que sur le regret d’un passé à jamais révolu. La quête du bonheur formulée en ces termes demeurerait une mystification.
Aucune condition ne se présente pour que le bonheur paraisse !
Et pourtant il existe malgré les dures lois du vivant : la mort au bout de la vie, la loi du Talion, la loi de la faute originelle. Pourquoi le bonheur serait –il un état invariable, alors que la vie humaine resterait soumise à un rythme discontinue ?
Les tentateurs, les manipulateurs de la conscience, se révèlent innombrables et font croire que chaque instant recèle un moment heureux qu’il faut piéger en l’achetant.
Qui peut nager avec assez de force à contre-courant ou refuser de croire aux marchands de bonheur ?
Le prix du bonheur tient dans sa fragilité.
Production de l’esprit non nécessaire, puisque la vie peut se dérouler sans lui, le bonheur s’il se manifeste puis vient à disparaître, occasionne certaines perturbations.
En revanche, lorsqu’un individu fait l’expérience du bonheur, il bénéficie de répercussions bénéfiques. Le bonheur le métamorphose. Si le bonheur pouvait se partager et si la générosité touchait tous les individus, l’humanité entière nagerait dans une sorte d’euphorie.
Parfois, le bonheur devient communicatif. Les rituels, les cérémonies contribuent à répandre une sorte de grâce collective qui ne dure que le temps de l’évènement.
Tous ceux qui connaissent le bonheur, s’accorderaient pour dire qu’il ne peut se décrire, mais qu’il ferait parti d’une expérience. Le partage, la conscience de l’autre, le soulagement que parfois peut lui être apporté par le simple acte volontaire suffiraient à provoquer ces états heureux qui passent d’un être à l’autre et traversent l’existence comme des souffles.
Le bonheur se cueille ou se rencontre fortuitement, il ne se recherche pas.
Le hasard et la disponibilité individuelle restent les seuls guides, certes fantasques et instables, vers l’accession au bonheur.