Tout à fait. D'ailleurs, mon post était surtout relatif à ce qui doit être fait au réveil, à la tenue stricto sensu du JdR. Après, pour ce qui est de la "prise de notes" pendant la nuit, tout est possible.
Quoique... là encore, je conseille plutôt la méthode de l'écrit. Pourquoi ? Ecrire prends plus de temps, permet de se réveiller beaucoup plus vigoureusement... et hop, un mini-WBTB ! Voire un WBTB si le rêve est long à rédiger, et/ou si tu souhaites poursuivre le réveil. Et ça, c'est bon pour augmenter les chances de faire des RL. Il ne faiut surtout pas sous estimer l'effet de levier du mini-WBTB (quelques minutes) pour induire des RL, il est presque aussi puissant que celui du vrai WBTB. Les insomniaques en savent d'ailleurs quelque chose, au moins de façon instinctive. Les nuits un peu agitées (mais pas trop) aident à faire des rêves - du moins, à s'en souvenir.
Après, bien évidemment, la méthode est fortement déconseillée aux insomniaques, moins facile à appliquer l'été du fait des fortes chaleurs, qui rend plus difficile le rendormissement, et globalement, à éviter pour ceux qui ont déjà une courte nuit de sommeil à la base. Prévoir, si l'emploi du temps IRL est compatible, une plage de huit heures minimum de sommeil (soit au moins sept heures de sommeil effectif, après avoir soustrait les WBTB).
Et effectivement, il est parfois plus difficile pour certains onironautes de se souvenir d'un rêve une fois levé, alors que de ne pas bouger peux aider à garder le souvenir du rêve (mais alors, c'est le signe d'une mémoire onirique insuffisamment développée imho). Dans ce cas précis, le dictaphone est une bonne affaire.