De mon côté j'ai remarqué que dormir sur le dos, en plus de favoriser les PS (bien qu'elle ne soit pas la position exclusive de leur survenue), a tendance à jouer énormément sur mes RN.
Ça fait quelques mois que je me réveille parfois sur le dos (je ne m'endors que très rarement comme ça mais je dois bouger dans mon sommeil), et systématiquement je viens de faire des RN de dingue, très immersifs et intenses émotionnellement.
Je me demande d'où peut provenir le coté fétiche de chacun pour s'endormir. J'y vois là une énigme. Sur le dos chez moi, à moins d'être mort de fatigue, c'est impossible. Conscience alerte, je ne sens que très rarement le sommeil arriver.
Je ne sais pas si il s'agit d'un élément de réponse avéré scientifiquement mais beaucoup de divers médecins, kinés, etc... que j'ai rencontrés semblaient s'accorder pour dire que notre tempérament et notre humeur jouaient énormément sur les postures nocturnes.
Par exemple, selon eux les positions recroquevillées, repliées, seraient révélatrices d'anxiété et/ou d'insécurité, à l'inverse le corps et les membres "ouverts" et étendus pourraient être plutôt liées à des humeurs plus sereines.
Sinon je pense personnellement que les préférences pour les côtés droits ou gauches par exemple ça pourrait être simplement des préférences de confort personnels un peu comme certains préfèrent écrire de la main droite tandis que d'autres la gauche. Les détails aussi (inclinaison pour ceux qui comme moi dorment mi sur le côté mi sur le ventre) ça pourrait être d'origine purement anatomique, par exemple je sais que n'étant pas très charnue j'ai des os qui ressortent pas mal comme les genoux qui n'aiment pas être l'un sur l'autre, du coup j'écarte un peu les jambes quand je suis sur le côté etc...
Je sais que le confort "interne" est mis en jeu aussi, notamment pour les gens ayant des difficultés à digérer et qui vont préférer s'appuyer sur le côté droit pour éviter de faire pression sur l'estomac qui est à gauche.
La corpulence, les tensions, les douleurs diverses doivent sans doute être impliquées dans nos choix de confort